
Par Soulay Thianguel Silence, il s’est tu. Les cordes merveilleuses de sa kora se sont tues. Les vibrations gracieuses de sa calebasse ne sont plus tenues. Fil ténu des mélodies fiévreuses de sa harpe d’Afrique évanouies. Il est parti de ses longs pas feutrés que nous n’avons pas entendus. I ...