« Cinq (5) cas sont sérieux mais leur vie n’est pas en danger. Aucun blessé ne présente de traces de balles. Les soins sont en cours. Heureusement, il n’y a pas d’enfants parmi les blessés et malgré l’ampleur des affrontements, aucune perte en vie humaine n’est enregistrée », affirme Dr Ibrahima Nabé, directeur de l’hôpital régional de Faranah.

Les autorités administratives civile et militaire se sont rendues aussitôt sur les lieux pour « limiter les dégâts ». A leur tête, le gouverneur de la région administrative de Faranah, le Général Boundouka Condé.

" Les enquêtes sont en cours pour faire la lumière sur cet acte regrettable qui pourrait affecter négativement la cohabitation entre ces deux (2) communautés », déclare Florentin Sagno, secrétaire général chargé de l’administration à la préfecture de Faranah qui précise que des dispositions sont déjà prises pour éviter de tels événements malheureux à Faranah.