Selon le compte rendu du conseil ordinaire des ministres fait par le porte-parole, du gouvernement, Ousmane Gaoual Diallo, chef de département de l’Urbanisme, de l’Habitat et de l’Aménagement du Territoire, le Président de la Transition a déploré que la délégation guinéenne soit revenue au pays avec seulement trois footballeurs, au lieu de vingt-sept. Il a de la CAN, au Cameroun cette équipe, une fois mis en place, les footballeurs et staffs qui l’a composeront seront pris en charge par l’Etat.

Plusieurs observateurs de la chose du football estiment cette politique permettra à la Guinée d’avoir une base en vue des compétitions futures. Dans plusieurs autres pays de la sous-région et ailleurs, cette politique est de mise et continue à faire des résultats probants.

Certains spécialistes du cuir-rond n’estiment que les solutions de dynamiser un club de football ne manquent pas, elles peuvent d’ailleurs se compléter les unes avec les autres. Tout dépendra là encore des priorités de l’instance faîtière du football national, même si chaque levier de développement a une grande utilité, en songeant à ficeler un partenariat pour accompagner l’équipe qui sera mise en place.

Les partenaires pourront être valorisés par les autorités au plus haut niveau de la sphère administrative. Mais aussi, les athlètes mieux informés sur la vie de ladite sélection.

Les potentiels futurs footballeurs auront un bon aperçu des activités de l’équipe. L’Etat doit donc souhaiter disposer d’équipement et de structures sportives plus modernes afin de proposer à ces athlètes des services de qualité, qu’il s’agisse d’équipement pour l’initiation pour les entraînement.

En tout cas, cette politique qui consiste à miser sur une sélection nationale à ossature locale était une des ambitions du président sortant de la Fédération Guinéenne de Football, Mamadou Antonio Souaré et toute l’équipe fédérale.